C’est la première fois depuis la dépression des années 1930 que les politiques américains s’engagent si fortement dans leur campagne électorale sur l’emploi !
Et le Sénat a approuvé une motion limitant la pratique de l’outsourcing sur des activités gouvernementales hors des Etats-Unis, ou plus précisément hors des agréments des pays membres de l’organisation internationale WTO (World Trade International, à visiter sur wto.org). Ces agréments ne concernent pas en effet tous les pays membres du WTO, ce qui exclue de fait des pays comme l’Inde, la Russie ou la Chine, les principaux bénéficiaires de l’outsourcing. Par cette mesure, les politiques se rangent du côté de leur opinion publique, et contre le discours des sociétés américaines qui affirment que l’arrêt de ces pratiques serait une atteinte à leur rentabilité. En dehors du marché domestique, l’administration américaine représente à elle seule un marché considérable. Et compte tenu du climat qui règne autour de ces pratiques, de plus en plus d’entreprises américaines commencent à s’inquiéter de leur réputation auprès de leurs clients aux USA. Cependant la prudence reste de mise dans les milieux informés, à la fois par la crainte de voir les entreprises revenir en arrière avant les élections pour mieux sauter après, mais aussi avec le risque inverse d’assister à une nouvelle montée de protectionnisme.
Microsoft affirme que l'accord européen de 2009 a donné à CrowdStrike les clés du noyau…
Déjà Président du conseil d'administration, l'ex banquier Jean-Pierre Mustier est nommé directeur général d'Atos. Il…
Le Financial Times rapporte qu'OpenAI était en pourparlers avec des concepteurs de semi-conducteurs, dont Broadcom,…
En première ligne pour subir les cyberattaques, les TPE/PME sont aussi les moins bien formées…
La Cour des comptes estime que la Dinum doit construire sa légitimité, autant au vu…
La Cour des comptes pointe les « résultats contrastés » de la Dinum sur son…