Le nouveau MyDoom, cuvée février 2005, se propage rapidement, en particulier en France où il pourrait séduire les internautes afin qu’ils ouvrent le fichier vérolé attaché aux e-mails qui servent à sa propagation.
MyDoom nouvelle mouture adopte le modèle de la variante d’août 2004 qui la première est allée pêcher chez Google des adresses e-mail afin de se répandre. Car MyDoom possède son propre moteur SMTP qui lui permet de se diffuser automatiquement vers les adresses collectées sur Google, mais aussi sur les adresses présentes sur le poste infecté. La stratégie de l’auteur de MyDoom n’est pas déniée de subtilité ! S’il s’exécute, c’est que l’internaute inconscient s’est fait piéger. Le virus va donc rechercher les adresses disponibles sous le même domaine. Pour le cas où tous les abonnés à un même domaine seraient à ce point naïfs !
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