Un communiqué signé par trois adjoints au maire de Paris, récuse toute dangerosité des bornes publiques d’Internet en Wi-Fi. Selon la municipalité, des mesures auraient été effectuées par « des laboratoires agréés, conformément au protocole de l’Agence nationale des fréquences« . Ce laboratoire a alors révélé « des niveaux 80 à 400 fois inférieurs aux seuils règlementaires« .
De même, la ville de Paris, annonce avoir organisé des visites médicales pour tous les agents qui avaient signalé des maux présumés liés aux bornes Wi-Fi. Cependant, aucune pathologie n’a été diagnostiquée.
Rappel, en novembre 2007, quatre hotspotsplacés dans des bibliothèques appartenant à la capitale avaient dû être désactivés après que des agents municipaux se soient plaints de troubles médicaux. Les symptômes (maux de tête, vertiges, malaises, douleurs musculaires) furent alors attribuées à l’installation récente de bornes W-iFi.
Pour autant, certaines organisations syndicales comme la CGT, CFTC,FO, Supap-FSU, UCP et UNSA reprochent à la ville de Paris d’avoir fait un choix parmi certains experts pour étudier ce dossier. Une position qui les amènerait à boycotter la prochaine réunion du comité d’Hygiène et de sécurité prévue le 18 septembre. Rendez-vous au cours duquel les résultats des tests devaient être communiqués.
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