Finalement, l’ASC a rendu sa copie. Dans son communiqué, la coalition anti-spyware précise que son objectif est de permettre de déterminer si un programme suspect est malin ou non.
Le groupe indique donc ce qui fait qu’un spyware est potentiellement dangereux. L’ASC considère que les programmes-espions et les autres technologies indésirables sont déployés sans le consentement de l’utilisateur et provoquent des changements matériels. D’après l’ASC, ces fichiers espionnent la vie privée et compromettent la sécurité du système d’exploitation. L’installation d’un spyware, permet à un pirate d’utiliser les ressources du PC infecté, par exemple en contrôlant et en surveillant quels programmes sont installés sur l’ordinateur. Pour l’ASC, la récupération des données sensibles représente une menace tout a fait sérieuse pour les internautes. Au-delà de la simple définition du spyware, l’ASC propose un document avec certains critères permettant à l’usager de déterminer si un programme peut-être assimilé à un spyware. Reste à savoir si cette dernière sera suffisamment diffusée et surtout utilisée par les internautes pour partir en campagne contre les groupes à l’origine de la diffusion de fichiers-espions, à l’image de ce qui se fait depuis peu à l’encontre des spammeurs. (Lire nos articles) Pour consulter la liste des critères de l’ASC afin d’identifier un spyware
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