Retour d’une partie des activités du fabricant allemand de semiconducteurs Infineon dans le giron de Siemens. La division des puces à usage médical rejoint son ancienne maison mère.
Infineon est en effet une ancienne filiale du conglomérat industriel allemand. Face aux difficultés des semiconducteurs européens, dont il est le chef de file en matière de déception sur les résultats, le groupe a décidé de se séparer de ses activités non stratégiques. Les biopuces d’Infineon, baptisées Quicklab, vont donc rejoindre Siemens Médical. Pour accélérer les diagnostiques, elles sont capables d’analyser du matériel génétique et des protéines, et de donner des résultats rapides sous la forme de signaux électriques. De quoi permettre à Siemens Medical de concurrencer General Electric et Philips, et à Infineon de se recentrer sur son métier de base, les composants mémoires.
Une mise à jour de l'EDR Crowdstrike Falcon a planté une multitude de serveurs et…
Un modèle GPT-4o mini rejoint le catalogue d'OpenAI. De la conception à l'évaluation, il a…
La Cour des comptes appelle à formaliser et à professionnaliser certains aspects du RIE, tout…
La Cour des comptes attire l'attention sur le risque d'affaiblissement d'Etalab, privé, ces dernières années,…
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…