L’affaire avait fait grand bruit à la fin du mois d’octobre. Les reposnsables de D Squared, un éditeur américain, avaient détourné une fonction de Windows pour permettre l’envoi aux internautes de fenêtres « pop-up » publicitaires proposant, justement, de bloquer de telles intrusions.
Ces pop-up apparaissaient toutes les dix minutes, en premier plan sur l’écran, tant que l’utilisateur reste connecté, même sans naviguer sur le web. Le cas a semblé suffisamment grave pour que la commission fédérale du commerce (FTC) mette son grain de sel. La commission a ainsi obtenu une injonction judiciaire interdisant à D Squared d’utiliser le dispositif de Microsoft pour ?spamer’ les internautes. C’est cette injonction qui est examaniée par un tribunal fédéral. Un avocat de l’éditeur D Squared a affirmé que ses fenêtres « pop-up » ne portent pas atteinte aux consommateurs et même les aident à se protéger contre des dommages plus graves qui pourraient être causés par des pirates ou des virus. Les publicités par pop-up ne sont « pas plus dommageables que les panneaux publicitaires routiers ou les réclames télévisées », ont écrit les défenseurs de l’éditeur il y a deux semaines pour demander la levée de l’astreinte. Du côté de la FTC on rejette evidemment cette conception assez étrange de la publicité et on accuse D Squared de pratiques déloyales ou trompeuses, voire de « racket » high-tech. Affaire à suivre.
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