La solution d’hébergement proposée par Gandi a ceci de particulier qu’elle met pleinement à profit les techniques de virtualisation et d’affectation des ressources. Les clients achètent des parts de serveurs, modulables à volonté. Le service peut ainsi être finement adapté à la charge réellement constatée.
Une part correspond à 1/64e d’un serveur physique. Elle offre 256 Mo de mémoire, 5 Mb/s dédiés et 5 Go d’espace disque. Dans tous les cas, 2 Go sont fournis pour le système d’exploitation et 512 Mo pour le fichier d’échange.
Pour Tier1 Research, « Gandi a tous les attributs d’une vraie infrastructure en nuages, avec une énorme capacité d’évolution, la sécurisation contre les points individuels de défaillance, ainsi qu’une flexibilité et une liberté totales que ce soit pour la facturation ou le reste ».
Gandi fait maintenant un bilan de son offre, en s’appuyant sur l’utilisation réelle de ses serveurs. Première décision, la limite processeur par part sera doublée pour tous les utilisateurs. De plus, de nouveaux pilotes vont améliorer sensiblement les accès disques. Enfin, le système Gandi Flex, qui permet d’ajuster manuellement la puissance du serveur, profite d’un nouveau tarif horaire par part de 0,03 euro HT contre 0,07 euro HT précédemment.
La prochaine évolution de ce service sera probablement la mise en place de Gandi Auto Flex. Il permettra d’ajuster le nombre de parts d’un serveur de manière entièrement automatique.
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