Rapide et efficace
La procédure d’installation demeure presque inchangée. Anaconda propose de chiffrer les partitions et utilise le système de fichiers ext4 par défaut. Les inquiets seront rassurés : le problème de perte de documents constaté avec l’ext4 n’est pas présent ici. Attention toutefois, car la partition servant à amorcer le système doit être formatée en ext3 (une centaine de mégaoctets seront suffisants). L’installation par défaut (environnement desktop, sans serveur web ni les outils de développement) prend environ 20 minutes (comptez quelques minutes de plus pour créer le compte utilisateur) et occupe 3,1 Go d’espace disque.
Le démarrage de l’OS (rappelons-le, sur une machine pourvue d’un disque dur assez lent et n’utilisant qu’un seul cœur) prend un peu moins de 50 secondes. Il s’agit là de la durée nécessaire avant l’apparition de l’écran de connexion ; il faudra compter une quinzaine de secondes de plus pour ouvrir une session. Aujourd’hui, il n’y a guère que Windows XP qui puisse faire mieux dans les mêmes conditions. Un bon point pour cette distribution Linux dont la nouvelle mouture démarre plus rapidement que précédemment.
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