Jusqu’alors, Novell n’avait pas souhaité proposer d’offre Linux adaptée au monde des terminaux Internet mobiles et des ultraportables économiques.
Ceci va bientôt changer. La firme s’est ainsi rapprochée d’Intel et de sa distribution Linux Moblin. Elle va proposer un dérivé de la SUSE basé sur la Moblin 2.0. Novell se concentrera toutefois uniquement sur les puces x86 (mais pas seulement les Intel Atom) et le marché des netbooks. La compagnie créera également un laboratoire de développement à Taïwan, afin d’aider les constructeurs (ODM et OEM) à adopter la ‘Moblin SUSE’ sur leurs ultraportables économiques.
Voilà qui est fort étrange. De fait, la Moblin 2.0 est aujourd’hui un dérivé de la Fedora, un concurrent direct de l’openSUSE. Ceci est pourtant parfaitement explicable. Tout d’abord, en basculant de l’Ubuntu vers la Fedora, le projet Moblin a choisi le système de paquetages RPM, utilisé aussi par les OS de Novell. C’est suite à ce changement que la firme aurait décidé d’affecter des ingénieurs au développement du projet.
Toutefois, l’argument qui a sans nul doute compté le plus est le fait que le projet Moblin est dorénavant géré par la fondation Linux. Qui est un des huit membres Platinum de cette organisation ? Novell. Qui trouve-t-on au sein du directoire de la fondation Linux ? Deux employés de Novell, James Bottomley et Alan Clark, sans compter Chris Schlaeger qui a lui aussi œuvré au sein de la compagnie.
Mistral AI formalise ses travaux communs avec l'entreprise finlandaise Silo AI, qui publie elle aussi…
La présidente de Numeum, Véronique Torner, revient sur la genèse de la tribune du collectif…
Après avoir mené son enquête, la Commission européenne considère qu'il n'y a pas de prise de…
Les banques et les créanciers obligataires d'Atos ont trouvé un accord pour restructurer la dette…
Sur la feuille de route de Christophe Vannier, RSSI de Carrefour Banque, on trouve la…
Dans un avis consultatif, l'Autorité de la concurrence a identifié les risques concurrentiels liés à…