Si le secteur retrouve des couleurs, après les bons résultats de Juniper, Nokia ou encore Lucent, les équipementiers n’ont pas l’intention de céder à un optimisme naïf.
C’est le cas du britannique Marconi, qui plus que ses concurrents, s’est retrouvé dans une position financière très délicate en 2001-2002. Les ventes du groupe ont progressé de 5% au troisième trimestre 2003 à 745 millions de dollars. Mais l’entreprise entend jouer la carte de la prudence. Pour le quatrième trimestre de son exercice, il table sur des ventes stables ou en légère hausse séquentielle, à taux de change constants et en excluant la contribution d’une filiale nord-américaine récemment cédée (voir notre article). Afin d’échapper à la faillite, Marconi a mis en place un sévère plan de restrucuration qui s’est traduit par la suppression de 6.000 emplois.
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…