Le téléchargement des sonneries pour mobiles a fait son temps. Le secteur, naguère estimé florissant, n’a plus vraiment de succès auprès du grand public. Selon une étude d’un institut américain, M : Metrics, relayée par Les Echos, le pourcentage d’abonnés aux services de téléchargement s’est singulièrement contracté, n’atteignant plus que la triste barre des 4% pour les Français, et 3,3% pour les Britanniques.
Le chiffre des ventes de sonnerie aurait, selon la SNEP (Syndicat national de l’édition phonographique), chuté de 23,4% pour un chiffre d’affaires de 8,9 millions d’euros.
Des raisons permettent d’expliquer le phénomène. Le développement récent du marché des musiques sur portable a certainement participé à l’estoc fatal porté aux sonneries téléchargeables. Multiplication des contenus musicaux disponibles, forfaits illimités notamment chez SFR, Vodafone, Nokia et mise en vente de terminaux dédiés (Nokia, Sony Ericsson) ont poussé les consommateurs à choisir ces modes, plus adaptés à la volonté de personnaliser les combinés.
Le doublement du chiffre d’affaires des téléchargements des singles durant les trois premiers trimestres de 2007 illustre clairement cette tendance.
« Avec le développement des technologies MP3 et Bluetooth, les moyens d’avoir sa propre sonnerie autrement que par le téléchargement légal se multiplient« , explique Hala Bavière, directrice des services de contenus chez SFR.
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