La série noire continue. Après les 12.900 suppressions de postes annoncées la semaine dernière par EMC, Lenovo et TDK, c’est au tour de Seagate de tailler dans le vif.
Le leader mondial des unités de stockage va supprimer 10% de ses effectifs américains, soit 800 postes. Le plan social touchera essentiellement les salariés américains.
Le contexte économique est une nouvelle fois mis en avant. Pourtant, Seagate se porte bien. Lors de son dernier trimestre, la firme affichait un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards de dollars pour un bénéfice de 60 millions et une part de marché de 30%.
Mais la forte baisse de la demande observée à la fin de l’année et le repli des marges oblige le groupe californien à réagir, explique sa direction. Rappelons que son principal concurrent, Western Digital, a également dégraissé avec 2.500 emplois supprimés.
Dans le même temps, Seagate a fait état de la démission de son COO (dirigeant opérationnel) David Wickersham et de Bill Watkins, qui dirigeait le groupe depuis 2004. Il sera remplacé par Stephen Luczo, Président du Conseil, p-dg de 1998 à 2004 et auteur-compositeur à ses heures…
Cette réorganisation surprise du groupe a effrayé les investisseurs puisque l’action Seagate a chuté de plus de 15% lundi suite à cette annonce.
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