Nippon Telegraph and Telephone (NTT), premier opérateur téléphonique japonais, annonce la mise au point d’un système de protection contre les »
distributed denial of service« , les DDOS ou « déni de service« . Ces attaques virales, du type du ver « code rouge » en 2001, visent les serveurs informatiques, qu’elles saturent en ralentissant leur fonctionnement par l’envoi d’instructions et de données. Jusqu’à présent, les systèmes de protection consistaient à placer un pare-feu (firewall), entre le serveur et le réseau. Le système développé par NTT protège le serveur, mais aussi les postes de contrôle placés à proximité. Si un serveur est infecté, la propagation artificielle des données sera alors ralentie, voir arrêtée. Encore en phase de test, la solution proposée par NTT présente l’intérêt d’être globale, car elle protège l’ensemble des utilisateurs en intégrant la détection et l’isolement des serveurs infectés.
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…
Thomas Gourand est nommé Directeur Général pour la France. Il est chargé du développement de…
Pour dissuader le CISPE d'un accord avec Microsoft, Google aurait mis près de 500 M€…
Pour réduire la taille des mises à jour de Windows, Microsoft va mettre en place…
De l'organisation administrative à la construction budgétaire, la Cour des comptes pointe le fonctionnement complexe…