Sur le papier, l’alliance semblait très prometteuse. En 2000, l’opérateur de téléphonie mobile japonais NTT DoCoMo avait acquis 42,3% de la filiale japonaise d’AOL, investissant alors quelque 100 millions de dollars.
Il s’agissait de développer, grâce à leur filiale commune, de nouveaux services utilisant Internet pour relier ordinateurs personnels et téléphones portables. Mais trois ans après, les résultats ne sont pas au rendez-vous. « La croissance de la clientèle est lente et nous n’avons pas obtenu les résultats que nous escomptions », indique une source interne à l’opérateur citée par Reuters. Conséquence, le divorce est à l’ordre du jour. NTT DoCoMo pourrait céder la totalité de sa participation dans DoCoMo AOL à son allié américain, explique la même source. Et les choses devraient aller vite, le japonais pourrait « solder » ce dossier avant la fin de l’année.
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