Hier, jeudi 22 mars, NVIDIA a officialisé les cartes graphiques GeForce GTX 680, premières du genre à disposer du GPU de nouvelle génération de la firme, connu sous le nom de code « Kepler ». « L’architecture Kepler représente la plus grande réalisation technique de NVIDIA à ce jour », expliquait alors Brian Kelleher, vice-président de la division GPU chez NVIDIA.
Gravé en 28 nm et disposant d’une architecture modernisée et renforcée, ce GPU est crédité d’une puissance par watt deux fois supérieure à celle des Fermi. Toutes ces informations sont données dans le cadre d’usages vidéoludiques. Toutefois, l’architecture Kepler devrait rapidement trouver sa place dans des nœuds de calcul, un secteur où les GPU de NVIDIA sont très populaires. Ils équipent en effet certains des superordinateurs les plus performants au monde.
Sur les feuilles de route livrées jusqu’alors par NVIDIA, le gain en matière de puissance de calcul sur les nombres flottants en double précision était estimé à près de fois trois. Les nouvelles indications données par la firme nous amènent à réviser légèrement à la baisse cette prévision.
Même avec un gain de 2,5 fois, le remplaçant de la carte Tesla M2090 devrait largement passer le cap du téraflops en double précision, avec une puissance de 1662,5 gigaflops (contre 665 aujourd’hui). Une première, sachant que la très véloce AMD Radeon HD 7970 concurrente plafonne à 947 gigaflops en double précision.
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