Le montant de ce ‘petit’ réajustement, contraint et forcé, figure dans un document remis à la SEC, le gendarme de la bourse américaine. Pendant ce temps, les démêlés judiciaires continuent. Oracle n’abandonne pas les poursuites entamées contre Peoplesoft: il lui reproche des pratiques anticoncurrentielles, à savoir son programme de protection des clients baptisé ironiquement « poison pill » (ou pillule poison…). L’idée de People est de répondre aux inquiétudes des clients sur l’avenir de ses produits et services. En cas de prise de contrôle d’Oracle, cela conduirait à verser des dédommagements à hauteur de 354 millions de dollars…
Entraves à la concurrence et pratiques déloyales?… Par ailleurs, le ministère de la Justice enquête sur les conséquences du rachat par Oracle s’agissant d’entraves à la concurrence et de de prévention contre une position dominante (protection anti-trust). Peoplesoft et JDE ont déjà porté plainte en Californie et dans le Colorado, pour « pratiques commerciales déloyales et injustes« . Pour rappel, l’offre d’Oracle expire le 15 août prochain.
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