Sur le papier, les performances de la suite bureautique open source OpenOffice.org s’améliorent à chaque nouvelle version. Dans le même intervalle, le logiciel devient cependant de plus en plus complexe. Andrew Ziem s’est penché sur la question, chronomètre en main.
Le temps de démarrage « à froid » de la suite a été sensiblement réduit entre OpenOffice.org 1.1.5 et les moutures 2.0.x, pour remonter progressivement avec les versions 2.1, 2.2, 2.3 et 2,4. Lors d’un démarrage « à chaud » de la suite bureautique, le temps de chargement est réduit de 50% entre la 1.1.5 et les 2.x. Dans les deux cas, la version de développement d’OpenOffice.org 3.0 fait un peu mieux que la 2.4.
Pour l’ouverture d’un document, le temps de chargement ne fait que grimper entre les différentes versions d’OpenOffice.org. Ce n’est pas un constat flatteur. Pire, l’export en ODF, PDF ou Doc prend, avec la version 3.0, près du double du temps constaté avec la mouture actuelle.
Au final, la suite bureautique devient plus lente à chaque nouvelle version. Et pourtant, dans la pratique, le travail sous OpenOffice.org s’effectue de façon plus « fluide ». Le temps de chargement du logiciel est effectivement court, tout comme la navigation au sein d’un document. L’ouverture et la fermeture des fichiers demeurent donc le point faible d’OpenOffice.org.
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