Oubliez l’ETL et les bases de données OLAP annexes : c’est ce qu’Oracle promet aux utilisateurs de MySQL Database Service. Cet engagement repose sur l’intégration d’un moteur analytique en mémoire, à l’image de ce que l’éditeur propose sur son principal SGBD.
Celui-ci prend pour le moment en charge deux types d’instances : BM.Standard.E2.64 et MySQL.Analytics.VM.Standard.E3. Les clusters constitués sur cette base peuvent regrouper jusqu’à 24 nœuds. Assez pour traiter jusqu’à 10 To, nous annonce-t-on.
Le stockage des données sur ces nœuds se fait dans un format compressé en colonnes. Le moteur peut, en fonction des requêtes, décider s’il les exécute ou non en mémoire.
Oracle fait la jonction avec les déploiements MySQL sur site en s’appuyant sur la réplication. Il n’est pas avare en benchmarks. Avec, comme principal élément de comparaison, deux produits Amazon : Aurora et Redshift.
Le groupe américain annonce une disponibilité sur l’ensemble de ses régions cloud. Il entend l’étendre – pour l’heure sans calendrier officiel – à son offre Dedicated Region Cloud@Customer.
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