L’intégration de PeopleSoft a un coût qui affecte les résultats d’Oracle. Le bénéfice net de l’éditeur au troisième trimestre 2004/2005, clos à fin février, affiche un retrait de 15% à 540 millions de dollars.
Après les 10,3 milliards de dollars déboursés pour le rachat, il faut bien évidemment financer l’intégration des produits de PeopleSoft dans le catalogue d’Oracle. Et provisionner les indemnités de licenciement des quelques 5.000 suppressions d’emplois annoncées en début d’année ! En revanche, le numéro deux mondial des progiciels Oracle continue de progresser et ne manque pas de le rappeler. Son chiffre d’affaires trimestriel gagne 18% à 2,95 milliards de dollars. Signe de la santé du groupe, les ventes de licences ont progressé de 12%, à 782 millions de dollars. « Une croissance solide dans notre activité de base de donnés a permis à Oracle de prendre des parts de marché à IBM tout au long de l’année« , a indiqué Larry Ellison. Et de relever sa prévision de résultat hors exceptionnels pour l’exercice, avec un bénéfice par action qui passe de 62 cents à une fourchette de 64 à 65 cents. Il reste à convaincre les investisseurs, plus prudents – habitués aussi aux envolées célèbres du patron du groupe – et qui ont sanctionné le titre après l’annonce du rachat de Retek (lire notre article).
D'AgentJ à YesWiki, voici les dernières entrées au SILL (Socle interministériel de logiciels libres).
En parallèle de diverses expérimentations, Microsoft livre une première version de WSL2 basée sur Linux…
Le dernier rapport environnemental de Google comporte peu d'indicateurs spécifiques à l'IA. Quelles perspectives l'entreprise…
Booster les performances des forces de vente en fondant les processus commerciaux sur ce que…
Respectivement DG et CTO de Red Hat France, Rémy Mandon et David Szegedi évoquent le…
Canonical formalise un service de conception de conteneurs minimalistes et y associe des engagements de…