Après France Télécom et Vivendi Universal, c’est au tour de l’opérateur historique allemand d’annoncer une perte record. Deutsche Telekom fait fort en annonçant une perte nette de 24,6 milliards d’euros pour 2002 soit 4 milliards de « mieux » que son homologue français France Télécom.
Comme pour son concurrent, l’opérateur paie le prix de ses acquisitions réalisées au plus fort de la bulle Internet. Des acquisitions dont la valeur a chuté de façon dramatique et qu’il faut provisionner, massivement. Ces provisions ont représenté quelque 19,3 milliards d’euros. Redressement au 4e trimestre Côté endettement, le groupe n’améliore pas la situation avec des créances toujours supérieures à 60 milliards d’euros. L’objectif est de le ramener aux alentours de 50 milliards d’ici la fin de l’année. En dehors de ces pertes abyssales, l’opérateur semble avoir entamé un certain redressement. Son Ebitda de 2002 a augmenté de 7,8% à 16,3 milliards d’euros. Pour le seul quatrième trimestre, l’Ebitda du premier opérateur télécoms européen a augmenté de 14,6% à 4,4 milliards d’euros. Son chiffre d’affaires a augmenté de 11,1% à 53,7 milliards d’euros. Les mobiles, moteur de croissance Comme pour France Telecom, c’est l’activité mobiles qui constitue le moteur de la croissance. l’Ebitda de T-Mobile progresse ainsi de 24,4% au quatrième trimestre à 1,2 milliard d’euros.
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