L’argument juridique repose sur le risque d’entrave à la concurrence ou loi anti-trust. Les procureurs de ces Etats discutent des modalités juridiques de l’éventuelle fusion/absorption. Ces discussions n’engageront ces Etats pour autant, à suivre la voie radicale adoptée par l’Etat du Connecticut, qui a déjà lancé une procédure judiciaire. Cela dit, ces échanges présentent un intérêt majeur, car certains de ces Etats sont clients de PeopleSoft… C’est dire qu’ils peuvent être très sensibles au risque de devoir subir les coûts d’une migration applicative non souhaitée, surtout à l’heure où leur budget sont plus que serré… D’autres Etats ont contacté PeopleSoft afin d’obtenir une liste de clients et de jauger leur opinion sur les effets éventuels, sur leur organisation, d’une prise de contrôle par Oracle.
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