Vivendi cède les 55% qu’il détient dans le capital de ce jeune opérateur. Il s’est distingué non pas tant par l’étroitesse de son marché – c’est le plus petit territoire couvert par un opérateur (33.000 résidents sur le Rocher de la Principauté). Or, étonnamment, ce minuscule opérateur compte 300.000 clients car on le rencontre sur des théâtres d’opération des plus risqués: Kosovo, Afghanistan, et tout récemment Irak… C’est bien là qu’il réussit à prendre des marchés.
Explication? Sa position de neutralité. Ses dirigeants se sont spécialisés dans le rétablissement des infrastructures télécoms, avec le choix de solutions du radiotéléphone GSM, les plus rapides à mettre en oeuvre au lendemain d’une guerre ou d’une bataille destructrice. Parmi les acquéreurs potentiels, on cite généralement Orange (France Télécom), Bouygues Telecom ou Eurazeo (contrôlé par la famille Lazard LLC) ou encore Apax Partners & Co… Le montant à débourser pour reprendre la participation de Vivendi se situe entre 300 et 400 millions d’euros. Les négociations doivent débuter en septembre.
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