Message reçu ! Après le veto de Donald Trump au rachat de Qualcomm, le groupe singapourien a officiellement abandonné son offre de 117 milliards $. Dans la foulée, sa demande de 15 administrateurs indépendants, qui était également visée par l’ordonnance du président américain, est retirée.
En revanche, selon Reuters, son conseil d’administration a entériné la localisation de son siège social aux Etats-Unis pour favoriser ses futures opérations de croissance externe en évitant la juridiction du L’opération est estimée à près de 500 millions $ par des sources citées par l’agence de presse.
Selon Amit Daryanani, l’analyste de RBC Capital Markets, Broadcom pourrait maintenant s’intéresser à d’autres sociétés, notamment Xilinx, Analog Devices, Maxim Integrated Products ou encore un fabricant de puces mémoire.
L’enjeu de cette opération ratée est le leadership industriel pour le développement de la 5G. Avec 15% des brevets essentiels à la nouvelle norme, Qualcomm est en pointe mais la concurrence chinoise fait rage avec 10% des brevets et des poids lourds comme Huawei déjà engagé dans la course.
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