Red Hat parviendra-t-il à combler le vide que laisse l’abandon de CentOS ? La filiale d’IBM a promis d’y travailler. Elle vient d’annoncer une première initiative : l’adaptation de son Developer Program.
Ce dernier permet, à l’heure actuelle, d’exploiter Red Hat Enterprise Linux (RHEL) sur un système avec maximum 2 sockets et 16 VM. Il interdit tout usage en production et n’accepte qu’un développeur par compte.
Tous ces éléments évolueront le 1er février 2021. RHEL deviendra utilisable en production, sur 16 systèmes au maximum. On pourra par ailleurs regrouper toute une équipe de développement sur un même compte. Et accéder à Red Hat Cloud Access, qui permet de déployer l’OS sur les principaux clouds publics.
Red Hat promet d’annoncer d’autres initiatives à la mi-février. En attendant, il met à jour un autre programme : Solution Provider Partner. Cela vaut pour la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), où le réseau compte « environ 3000 partenaires ».
À la clé, nous promet-on, davantage de flexibilité pour la spécialisation Middleware. Ainsi qu’une accréditation simplifiée des profils commerciaux et une harmonisation des frais d’adhésion.
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