Deux ou trois espaces de nom ? La question pouvait se poser concernant la sandbox OpenShift de Red Hat. L’éditeur a effectivement expérimenté l’une et l’autre option depuis l’ouverture du service voilà six mois. Il a finalement retenu la première – instaurée début avril – pour le passage en phase de disponibilité globale.
Pour le reste, pas de changement à signaler. L’offre permet toujours d’accéder gratuitement à un environnement OpenShift privé (sur un cluster partagé). Ce pour une durée de 30 jours, éventuellement extensible sur demande.
Les plafonds de ressources restent fixés à 7 Go de RAM, 15 Go de stockage et 8 heures de durée de vie pour les pods. Un certain nombre d’outils sont préchargés, dont l’IDE CodeReady Workspaces. Le tout s’accompagne de tutoriels portant notamment sur la migration d’applications Java et l’utilisation d’un cluster Kafka.
Pas non plus d’évolution sur les conditions d’inscription. Il faut toujours, en complément au compte Red Hat, un numéro de téléphone. On s’assurera éventuellement d’intégrer les secrets nécessaires pour lever les limites de téléchargement d’images depuis Docker Hub.
Illustration principale © jared_smith / CC BY-NC-ND 2.0
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