Face au déchaînement médiatique qui a suivi la découverte d’un quasi-rootkit (technologie XCP) utilisé par Sony pour protéger ses CD musicaux aux Etats-Unis et aux multiples class-action engagées, Sony BMG a décidé de sortir le carner de chèques.
Pour mettre fin au scandale, le géant japonais s’est résolu à dédommager les consommateurs ayant acheté ces CD dont la protection s’avère dangeureuse pour un PC (faille de sécurité exploitée par un virus, voir nos articles). Selon la proposition de règlement, qui doit encore être approuvée par un juge fédéral à New York, les consommateurs seront autorisés à échanger leurs CD verrouillés avec de nouveaux exemplaires sans logiciel anticopie. Ils pourront également choisir entre un versement en numéraire de 7,50 dollars et le téléchargement d’un album sur une liste de plus de 200 titres, ou au téléchargement de trois albums sur la même liste. Suffisant pour calmer la grogne ?
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