Solaris 10
Ce n’est probablement pas la technologie de Solaris la plus sexy que Sun Microsystems vient d’ouvrir au monde du « libre ». Mais en attendant Solaris 10 Open Source, les professionnels vont pouvoir approcher de près une très petite partie du code de l’Unix de Sun.
En effet, la démarche prosaïque de Sun, qui vient de dévoiler les ‘drivers’ de périphériques de Solaris sous licence Open Source, en dit long sur sa stratégie. L’éditeur semble indécis sur l’impact attendue avec l’ouverture de Solaris, mais en ouvrant d’abord ses pilotes, c’est à l’industrie qu’il s’adresse dans un premier temps, plus qu’à la communauté de l’Open Source. Au sein des clubs américains d’utilisateurs de technologies Sun, l’ouverture de Solaris est particulièrement bien accueillie. Mais au sein des communautés de développeurs, plutôt tournées vers les environnements Linux, c’est l’attente et l’observation ‘amusée’ qui dominent. Sur un marché où Linux et Windows Server grignotent des parts de marchés à Unix, et où Sun est devenu la cible privilégiée d’IBM et de HP, l’éditeur a peu à perdre à rendre Solaris partiellement « libre ». En dehors de ses clients, qui s’intéressera à un système qui se veut « open source », mais qui se contente ? certes dans un premier temps ? de ne rendre public que ses ‘drivers’ ? Lire notre dossier Spécial Salon Linux.
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