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Salon Sécurité Stockage: F-Secure automatise le filtrage des e-mails

L’éditeur finlandais s’est construit une solide réputation grâce à la robustesse de ses « appliances » anti-virus, anti-spams. Ainsi, sa « passerelle » ou « gateway » de filtrage des messageries connaît un succès croissant dans les grandes et moyennes entreprises, après un an d’existence seulement.

Car cette dernière présente un caractère universel, avec des mises à jour quotidiennes, paramétrables et transparentes pour les utilisateurs.

L’appliance ‘Messaging security gateway XSeries‘ offre la capacité de traiter jusqu’à 20.000 messages par heure! Or, il semble bien qu’elle tient ses promesses. Elle filtre à peu près tout: les virus, les « spams  » et les tentatives de connexion frauduleuses.

« Notre technologie, MLX, a fait ses preuves. F-Secure s’appuie également sur Proofpoint (US) pour la conformité des contenus et le respect des règles de sécurité« , explique Alexandre Durante, dg de F-Secure France. « Beaucoup d’options sont possibles pour traiter les messages douteux: mise en quarantaine, redirection, rejet, annotations, et. Mais les procédures peuvent être très automatisées. Notre solution est très « plug & play », en fait, voilà pourquoi elle plaît« .

En pratique, par rapport à des offres concurrentes, le nombre de « faux positifs » dans les traitements de filtrage est très limité. « Et ceci, sans qu’il soit compliqué de paramétrer ses règles de sécurité« .

Pour une licence, le coût démarre à 2.000 euros par serveur et 5 euros par utilisateur.

Par ailleurs, F-Secure doit également sa réputation (depuis plus de 15 ans) sur son module client anti-virus. « Nous utilisons plusieurs  » moteurs » d’analyse des messages, dont celui de Kaspersky, le nôtre mais également celui d’Adware« .

En clair, les mises à jour sont rafraîchies toutes les deux heures, avec interrogation des bases de signatures de 3 « labos »…

Dans le monde de l’entreprise, F-Secure fait désormais partie des 4 grands: il se situe derrière Symantec/Norton, McAfee, Trend Micro, avec un part de marché qui peut prétendre atteindre voire dépasser les 10%.

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