Ce qui surprend chez SCO, c’est qu’un évènement qui vient contrarier les procédures engagées par le propriétaire des droits d’Unix contre les développeurs de Linux est généralement suivi d’une menace. Et celle-ci prend le plus souvent la forme d’une attaque des sites du groupe, voire plus récemment de menaces personnelles contre les dirigeants qui se disent contraints de recourir aux services de gardes du corps…
Le phénomène est si récurrent, que l’on en vient à douter! SCO va pourtant jusqu’au bout de sa logique, et collabore avec le FBI afin de démasquer les mauvais plaisants, qui ne peuvent qu’être cachés au sein de la communauté Linux, bien entendu! Placé sous pression par la justice américaine qui le somme de présenter les codes qu’IBM aurait contrevenus, SCO invoque désormais des attaques par ‘déni de service’ contre ses sites -ce qui peut faire diversion! A croire que les défaillances des serveurs de SCO seraient plus ‘intentionnelles’ que le résultat de véritables attaques. Cependant, ce qui surprend le plus dans cette affaire, c’est que les agressions dont SCO se dit victime seraient des plus primitives, et demanderaient peu de compétences à un administrateur pour être repoussées. A moins que ce dernier maîtrise mal les serveurs Linux, ce qui serait fâcheux pour un éditeur déclaré.
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