En marge de l’IDF, Intel partage la vedette avec d’autres sérieux contributeurs aux technologies informatiques, dont Seagate.
Le fabricant de disques durs a présenté ce qui, en dehors des technologies Intel, est probablement celle qui affectera le plus les ordinateurs du futur : les spécifications eSATA. Appartenant à la famille Serial-ATA, à la base eSATA est la version externe du port SATA-II. Sauf qu’il dispose de ses propres spécifications et qu’il a été spécialement développé pour communiquer avec l’extérieur. Il en découle une meilleure protection pour une utilisation externe. Une volonté de protéger le port qui se mesure aussi sur le câblage, qui abandonne la « nappe » au profit de deux câbles accolés, ronds et blindés. Mais c’est surtout sur les vitesses de transfert que porte l’intérêt d’eSATA: elle transférera les données à 150 Mo/s voire 300 Mo/s. Ce qui représente une vitesse plus que cinq fois supérieure à celle de l’USB 2.0 (60 Mo/s), mais avec les fonctionnalités de SATA-II. Il reste à souhaiter que l’eSATA se retrouve en standard sur les cartes mères, dès cette fin d’année selon son concepteur. Les spécifications eSATA sont disponibles sur le site www.sata-io.org.
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