Chrome OS, Oracle, Debian, Red Hat évidemment mais aussi SUSE et Ubuntu… Ce sont les noms que l’on retrouve dans la « Linux-distro list ». Un club très fermé de distributeurs de solutions Linux, qui ont accès aux éventuelles failles découvertes dans le développement de Linux.
Comme ce développement est open source, les contributions sont nombreuses et variées, mais pour la partie sécurité, il est préférable de confier cela à un groupe restreint, et Microsoft vient d’être autorisé à y rentrer sous le nom de Microsoft Linux Systems Group. Cette entrée sera officielle à partir du 8 août prochain.
Pourquoi Microsoft tenait tant à s’inviter dans ce groupe privé ? Tout simplement parce que l’éditeur de Windows se considère aujourd’hui comme un distributeur Linux puisque de nombreux produits intègrent des composants Linux comme Azure Sphere OS, Windows Subsystem for Linux v2, Azure HDInsight et Azure Kubernetes Service.
En rejoignant la « Linux-distro list », Microsoft pourra donc apporter son expertise et ses compétences pour résoudre des problèmes de sécurité découverts dans des versions non finalisées, mais aussi avoir accès plus tôt à des discussions sur des problèmes liés à ses solutions déjà sorties.
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