La co-entreprise Sony Ericsson confirme sa bonne santé. Le cinquième fabricant mondial de mobiles a fait état d’un bénéfice imposable de 113 millions d’euros, contre une perte de 102 millions un an auparavant. Les analystes attendaient un bénéfice de 103 millions d’euros.
La marge avant impôt a augmenté à 7,5%, comme prévu, contre 7,2% au trimestre précédent. Le chiffre d’affaires a crû à 1,5 milliard d’euros contre 1,1 milliard un an auparavant et 1,4 milliard attendu. Le groupe récolte les fruits de sa politique marketing avec des combinés très orientés sur l’image. La forte demande en photo-phones a ainsi particulièrement profité à Sony-Ericsson. Néanmoins, la part de marché du fabricant n’a pas varié, ressortant à 7% au deuxième trimestre, par rapport au trimestre précédent. Le groupe n’a donc pas profité du passage à vide de Nokia contrairement à Samsung ou encore LG. « Ces résultats attestent d’une demande forte et régulière pour notre gamme de téléphones multimédia et imagerie stylés », déclare dans un communiqué le directeur général Miles Flint, qui a été nommé en avril. Du coup, Sony Ericsson anticipe maintenant 600 millions de téléphones mobiles vendus dans le monde cette année contre 550 millions projetés en avril. Les professionnels du secteur eux-mêmes prévoient un volume de 615 à 650 millions.
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