Décidément, la PSP est victime de son succès. Il semble que le groupe nippon ait des problèmes pour répondre à la demande. Initialement, Sony espérait vendre ses PSP en Europe, en Afrique, en Nouvelle-Zélande et Australie, et en Russie d’ici la fin de l’exercice fiscal, qui s’est achevé le 31 mars.
La PSP est disponible au Japon depuis décembre et aux Etats-Unis depuis mars mais le groupe japonais est submergé par une forte demande. La console sera désormais vendue sur ces territoires à partir du 1er septembre à un prix de 249 euros ou 179 livres. Le prix inclut un certain nombre d’accessoires et une copie du film « Spider-Man 2 ». « Nous avons toujours dit que nous lancerions la PSP lorsque nous en aurions une quantité suffisante pour la période initiale de lancement et pour la poursuite de l’approvisionnement ensuite », a déclaré un porte-parole du conglomérat. Sony avait un million de PSP en prévision de la mise sur le marché de sa console en Amérique du Nord, à un prix de 249 dollars, et en a vendu la moitié dans les deux premiers jours. Au Japon, le groupe a vendu plus d’un million de PSP. Les dirigeants de l’industriel du jeu vidéo espèrent que cet engin de la taille d’un livre de poche, qui permet aussi de voir des films ou d’écouter de la musique sur fichiers numériques, deviendra un objet culte à l’image de l’iPod d’Apple, et élargira le marché du jeu au-delà de son profil type, jeune et masculin.
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