Accusée d’être devenue le refuge de nombreux ‘spammeurs’, la Chine entend faire acte de bonne volonté, et montre l’exemple en forme d’avertissement. Une première étape a été franchie récemment avec l’interdiction de 127 serveurs de ‘spams’ locaux. Une seconde étape est en cours d’exécution, mais elle démontre que la Chine n’est pas la seule en cause !
Le gouvernement chinois publie une liste noire de 656 serveurs de ‘spams’ dans le monde, qui se voient intimer l’ordre de cesser leurs activités vers la Chine avant le 20 mars, après quoi ils se verront interdire l’accès à l’Internet chinois. Sur ces 656 serveurs, 62 ‘seulement’ sont localisés en Chine, 65 à Taïwan et 6 à Hong Kong. Il en reste donc 523 qui prennent leur source hors de la zone d’influence chinoise. Le sous-entendu est clair: que les politiques occidentaux et les gouvernants qui s’associent à eux fassent le ménage chez eux avant d’accuser les autorités chinoises de laxisme vis-à-vis du fléau qui pénalise Internet.
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