Sprint, troisième opérateur américain de communications longues distances poursuit son implacable plan de restructuration. Après avoir licencié 17.000 personnes depuis octobre 2001, le groupe annonce son intention de supprimer 2.000 postes supplémentaires au dernier trimestre sur un effectif total de 68.200 salariés.
Le groupe précise que ces suppressions d’emplois, qui s’ajoutent à des transferts d’activités à la sous-traitance, affecteront plusieurs de ses divisions, y compris celles de la téléphonie fixe grand public et de la téléphonie sans fil. Ce plan social fait partie d’un cadre de directives plus large visant à économiser un milliard de dollars par an. Ces économies devraient être réalisées grâce à une consolidation des systèmes, une élimination des doubles emplois et d’autres efforts de rationalisation. La nouvelle organisation de l’entreprise doit entrer en vigueur le 1er janvier prochain.
Un modèle GPT-4o mini rejoint le catalogue d'OpenAI. De la conception à l'évaluation, il a…
La Cour des comptes appelle à formaliser et à professionnaliser certains aspects du RIE, tout…
La Cour des comptes attire l'attention sur le risque d'affaiblissement d'Etalab, privé, ces dernières années,…
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…
L’Autorité de la concurrence et des marchés (CMA) britannique ouvre une enquête sur les conditions…