D’après Symantec, 10 à 20% de la totalité des ‘spams’ envoyés à travers la toile ne sont pas en langue anglaise. Le ‘spam’ non anglophone représente donc un problème pour de nombreuses entreprises notamment dans l’Hexagone.
Pour palier cette lacune, Symantec Brightmail Antispam 6.0 est désormais capable d’analyser les messages électroniques en 11 langues différentes avec une technologie heuristique propre à chaque langage. «Symantec Brightmail Probe Network», le pot de miel des spammers Le réseau « Symantec Brightmail Probe Network » intercepte les pourriels de 20 pays grâce à plusieurs millions de comptes email « leurres » disséminés aux quatre coins d’internet. Prés de 100 milliards de messages sont ainsi filtrés par Symantec tous les mois. Les données recueillies sont analysées et permettent d’améliorer sensiblement le produit. Les résultats des analyses sont utiles notamment pour améliorer les filtres URL de la solution ou pour identifier les origines des spam détectés. Grâce à ce procédé, Symantec détermine un niveau de « réputation » pour chaque source de courrier électronique ce qui contribue à faire baisser le taux de faux positifs et de faux négatifs. Aurélien Cabezon pour Vulnerabilite.com
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