Helios, installé au Japon et conçu par Bull, est un des ordinateurs les plus puissants de la planète. Une machine composée de 70 560 cœurs de calculs Intel Xeon.
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Helios, installé au Japon et conçu par Bull, est un des ordinateurs les plus puissants de la planète. Une machine composée de 70 560 cœurs de calculs Intel Xeon.
Nouveau succès pour Bull dans le secteur du HPC. La firme française devient en effet le fournisseur attitré de Wirth Research, un acteur travaillant dans le monde des véhicules de course.
La Commission européenne invite les États membres de l'Union européenne et les industriels à doubler leurs investissements dans le domaine du calcul haute performance (CHP/HPC) et des supercalculateurs d'ici à 2020.
Après le Tera 100 du CEA, c’est au tour du Curie du GENCI de passer la barrière du pétaflops de puissance de calcul. Un atout de poids pour le monde académique français.
SGI a été choisi pour construire le futur supercalculateur de Total. Crédité d’une puissance de calcul de 2,3 pétaflops, ce sera le cluster privé le plus puissant de la planète.
En expérimentant le refroidissement de son calculateur Olympus par le pompage d'eaux souterraines, le Département américain de lÉEnergie a réalisé une économie de 70%.
T-Platforms est chargé de créer un cluster d’une puissance de 10 pétaflops pour l’Université d’État M.V. Lomonosov de Moscou. Le démarrage de cette machine est prévu pour fin 2013.
Le code source du générateur de code GPU utilisé au sein de CUDA est dorénavant accessible pour les développeurs et les chercheurs. Cet outil est basé sur LLVM.
JP Morgan joue une nouvelle fois la carte du FPGA Computing pour ses clusters. Une nouvelle étape avant la mise en place d’une machine de 128 téraflops.
Doubler les performances d’un outil de calcul ou de simulation en quatre semaines, voilà ce que promet NVIDIA avec le nouveau standard OpenACC. Les premiers résultats sont très encourageants.
Le Français Bull est primé, cette année encore, par les lecteurs d’HPCwire. La firme confirme ainsi sa position dans le monde du calcul de hautes performances.
Conçue autour d’un processeur maison très original, la gamme de supercalculateurs Blue Gene/Q d’IBM permettra de construire des clusters d’une puissance maximale de 100 pétaflops.
Les nouveaux nœuds de calcul de Bull et de SGI sont annoncés. Leur point commun ? L’adoption de processeurs Intel Xeon E5.
Avec l’adaptation de l’OpenCL aux composants reprogrammables d’Altera, le monde des FPGA ne sera plus jamais le même. Bienvenue dans l’ère du FPGA Computing.
Un cluster SGI Altix UV 1000 de 12,3 téraflops vient de décrocher la certification Red Hat. Une bonne nouvelle pour les entreprises ayant de forts besoins en terme de calcul.
Le spécialiste du GPU Computing NVIDIA lance de nouveaux outils de programmation parallèle et lève un peu plus le voile sur sa stratégie ARM+GPU.
Les acteurs du pétrole et du gaz pourront maintenant bénéficier d’offres HPC signées conjointement par Acceleware et Bull.
Bull va livrer un cluster hybride (CPU et GPU) au BSC-CNS de Barcelone. Une machine créditée d’une puissance de 186 téraflops.
Microsoft annonce une réduction de 20 % sur son offre de calcul applicative d'entrée de gamme. Et tenter de concurrencer l'offre gratuite découverte d'Amazon.
Le format de fichier CDF peut afficher des informations numériques sous une forme interactive. Une solution intéressante et multiplateforme, mais pas totalement ouverte.
Comment battre un supercalculateur avec seulement quelques dizaines de nœuds de calcul ? En créant un composant spécialisé. Une approche retenue par JPMorgan pour son calcul des risques.
Le BUX réunit les utilisateurs de solutions d’extreme computing Bull. Il rassemble aujourd’hui les clients européens disposant de supercalculateurs créés par la firme.
Bull lance le projet et le club NumInnov, afin de réfléchir à une plate-forme cloud permettant de nouvelles utilisations du calcul.
Windows Server 2008 R2 Datacenter Edition est maintenant compatible avec les SGI Altix UV, des ordinateurs surpuissants pouvant intégrer un maximum de 512 processeurs octocœurs.
Un accord-cadre signé entre Bull et l’Inria permettra à ces deux acteurs de travailler en commun sur la problématique des supercalculateurs exaflopiques. Une thématique essentielle pour la science comme pour l’industrie informatique.
NVIDIA dévoile des puces ARM spécifiquement dédiées au marché des ordinateurs traditionnels. La compagnie promet des performances sans commune mesure avec celles des processeurs x86.
Le SuperMUC sera un cluster allemand crédité d’une puissance de 3 pétaflops. Un contrat décroché par IBM, qui utilisera un système de refroidissement liquide novateur.
La Russie compte bien elle aussi aligner un supercalculateur pétaflopique dans le top500 des ordinateurs les plus rapides de la planète. Cette machine sera signée par T-Platforms, spécialiste russe du HPC.
Nouveau contrat de taille pour Bull dans le secteur des supercalculateurs : la compagnie va ainsi fournir deux clusters dédiés à la simulation numérique à Dassault Aviation.
La simulation numérique accessible à l’acte, c’est ce que propose Bull en mettant à disposition ses capacités de calcul au travers du service extreme factory.