Le Privacy Shield, l'accord entre l’UE et les Etats-Unis sur le transfert des données, fait un premier heureux : Microsoft. Les CNIL européennes sont elles bien plus hésitantes.
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Le Privacy Shield, l'accord entre l’UE et les Etats-Unis sur le transfert des données, fait un premier heureux : Microsoft. Les CNIL européennes sont elles bien plus hésitantes.
Malgré les écoutes massives de la NSA américaine, les internautes utilisent encore relativement peu l'authentification à deux facteurs, le chiffrement de messages ou la navigation anonyme.
Les États-Unis veulent accélérer le partage et la réutilisation du code source de logiciels développés par ou pour le gouvernement fédéral américain. En France, l'administration fiscale a mis à disposition le code source de son calcula ...
Le plan de transition visant l'abandon de la tutelle américaine sur l'Icann, le registre technique d'Internet, donnerait davantage le contrôle aux acteurs privés qu'aux États.
Les États-Unis se disent prêts à limiter la collecte en vrac de données de citoyens européens dans le cadre du « Privacy Shield ». Cet accord post-Safe Harbor est actuellement examiné par les CNIL européennes (G29).
Si les États-Unis et l'Iran n'étaient pas parvenus à un accord sur le programme nucléaire iranien, Washington était prêt à lancer une attaque informatique d'ampleur contre Téhéran.
Selon IDC, l’Etat fédéral américain dépensera 8,5 % de ses budgets IT dans le Cloud en 2016, une part en nette augmentation par rapport à l’année dernière. En France, la migration est bien plus timide.
En attendant la ratification du Privacy Shield, le Sénat américain a validé une loi autorisant les européens à saisir la justice américaine en cas de mauvaise utilisation de leurs données.
Dans le cadre d'un plan cybersécurité de 19 milliards de dollars, la Maison Blanche s'apprête à recruter son premier responsable de la sécurité des systèmes d'information (RSSI).
Le groupe des CNIL européennes veut examiner les garanties du « bouclier de confidentialité » post-Safe Harbor sur les transferts de données vers les États-Unis. Verdict au printemps.
La Commission européenne et les autorités américaines ont, in extremis, trouvé un accord sur le transfert des données transatlantiques. Meilleur contrôle et création d’un médiateur au département d’Etat sont au programme.
Sommés de négocier un nouvel accord clarifiant la base légale des transferts de données vers les États-Unis, les responsables européens et américains seraient sur le point de s'entendre.
Les salaires IT américains ont bondi de 7,7 % en 2015, soit la hausse la plus marquée de la décennie. La Silicon Valley et New York proposent les rémunérations les plus élevées du marché.
La France pourrait gagner 0,5 point de croissance annuel à travers une large diffusion des outils et des compétences numériques dans ses entreprises, selon le commissariat général à la stratégie.
Trois mois après la suspension de l'accord dit Safe Harbor, les régulateurs européens du G29 s'orientent vers une approche plus restrictive du transfert de données vers les États-Unis.
A deux semaines de l’échéance fixée par les CNIL européennes, Bruxelles et Washington n’ont toujours pas trouvé d’accord sur un Safe Harbor 2. L’Union multiplie les messages de fermeté.
Après les attentats de Paris et San Bernardino, la Maison Blanche appelle à nouveau les dirigeants des Gafa à coopérer et forme un groupe de travail pour mieux combattre l'extrémisme violent.
À contre-courant, le gouvernement des Pays Bas refuse l'adoption de mesures restrictives contre le cryptage et investit dans OpenSSL.
Un chercheur en sécurité a mis la main sur une base de données regroupant sur Internet les données personnelles des électeurs américains.
La pression pour l’affaiblissement du chiffrement va grandissante. Le Royaume-Uni prépare une loi. Les candidats à la Maison Blanche multiplient les déclarations. En porte-drapeau de la Silicon Valley, Apple tente de résister.
Les négociations se poursuivent entre les Etats-Unis et l’Europe pour aboutir à un Safe Harbor 2. L’UE souhaite notamment intégrer une clause de suspension en cas de manquement.
Une étude d’un fonds de capital-risque montre qu’une large majorité des créateurs de start-up aux Etats-Unis pense traverser un phénomène de bulle. Et s’attend à une raréfaction des financements.
Après l'invalidation du Safe Harbor, les négociations autour d'un nouvel accord transatlantique se poursuivent. Bruxelles veut obtenir des entreprises US un rapport sur les demandes fédérales américaines d'accès aux données de citoyens ...
Après l’invalidation du Safe Harbor, la Commission européenne demande aux Etats-Unis de se presser à négocier un nouveau cadre des transferts transatlantiques des données. L’exécutif prône des solutions alternatives en attendant.
Des contrats d'externalisation redondants se traduisent par des milliards de dollars de dépenses IT en trop pour l'État fédéral US, selon la cour des comptes américaine. En France, on attend le bilan.
Bien moins élevé qu'en France, le chômage IT aux États-Unis a cependant augmenté de 1 point au troisième trimestre. Il dépasse même les 5 % dans le développement Web.
Le texte CISA vise à inciter les entreprises à échanger des données sur les cybermenaces. Il est en passe d'être adopté par le Sénat américain, malgré les craintes de la Silicon Valley.
Après la suspension du mécanisme dit Safe Harbor, les régulateurs du G29 montent au créneau. Ils donnent trois mois aux institutions européennes pour négocier avec les États-Unis un accord intergouvernemental sur les données transférée ...
Les affaires reprennent... Lors de sa première visite officielle aux États-Unis, le président chinois Xi Jinping a plaidé pour une réelle coopération sino-américaine contre le cybercrime.
Selon l'entreprise de sécurité CrowdStrike, les données piratées d'agents fédéraux américains viennent alimenter une gigantesque base dédiée à l'espionnage. La Chine est mise en cause.