Le déblocage de l’iPhone de San Bernardino, auquel Apple a refusé de participer, résulterait d’une faille d’iOS apportée au FBI par des hackers professionnels. Ceux-ci auraient été payés pour leur contribution à l'enquête.
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Le déblocage de l’iPhone de San Bernardino, auquel Apple a refusé de participer, résulterait d’une faille d’iOS apportée au FBI par des hackers professionnels. Ceux-ci auraient été payés pour leur contribution à l'enquête.
Après la bataille entre Apple et le FBI, deux sénateurs US sortent un projet de loi visant à forcer l'industrie à aider les forces de l'ordre dans le déchiffrement de données. La guerre du chiffrement se poursuit.
Emmanuel Macron se met En marche et les télégrammes arrivent dans l'édition du soir.
Après avoir débloqué l'iPhone d'un des tueurs de San Bernardino sans l'aide d'Apple, mais avec le soutien d'un tiers, le FBI propose son assistance technique aux polices locales américaines.
En attendant que Bouygues Telecom et Orange publient les bancs, les télégrammes vous font patienter.
Apple n’a pas cédé au FBI qui lui demandait son aide pour débloquer un iPhone ayant appartenu à un des tueurs de San Bernardino. Mais les enquêteurs américains sont tout de même parvenus à leurs fins grâce à la start-up Cellebrite. Et ...
Après le décryptage d’un iPhone par le FBI sans l’aide d’Apple, la bataille a pris fin sur le plan juridique. Mais le débat reste ouvert sur de nombreux points.
Le FBI teste une alternative tierce pour débloquer l'iPhone d'un des tueurs de San Bernardino. Exploitation d'une faille zero day, piratage physique... Les spéculations vont bon train.
Pas d'annulation de l'Euro, ni du Tour de France et encore moins des télégrammes du soir
À l'heure où le FBI et Apple s'opposent sur le chiffrement, le projet Tor renforce la sécurité de son réseau d'anonymisation et réaffirme qu'une cryptographie forte est nécessaire.
Moins détonnant que les dramatiques événements de Bruxelles, voici les télégrammes du soir.
A l'heure où l'arrestation de Salah Abdeslam est confirmée, rien n'arrêtera jamais les télégrammes du soir.
Pour Edward Snowden, le FBI n'a pas besoin de l'expertise technique d'Apple pour déverrouiller l'iPhone d'un des tueurs de San Bernardino. Mais le Bureau veut une backdoor légale.
Le débat FBI-Apple sur le déverrouillage d’un iPhone pourrait avoir un impact sur l’accord Privacy Shield passé entre les Etats-Unis et l’Europe en remplacement du Safe Harbor.
Même si Adil Shamir – le S de RSA – fait entendre une voix discordante, les experts en chiffrement se rangent plutôt aux arguments d’Apple. Selon eux, le déblocage de l’iPhone demandé par le FBI créerait un dangereux précédent.
Un juge new-yorkais et une analyste du cabinet Gartner soutiennent le refus d'Apple d'apporter son expertise technique au FBI pour débloquer l'iPhone de criminels et suspects.
Apple recrute Frederic Jacob, le développeur de la messagerie chiffrée Signal. Pour développer une technologie qui rendrait inviolable l'iPhone ?
Le FBI devra trouver d’autres voies que des backdoors pour mener ses enquêtes. Voilà en substance le message lancé par Mozilla à l’attention du gouvernement US.
Si l'opérateur BT juge contraignant l'ouverture de son réseau aux concurrents en Angleterre, nous nous réjouissons de partager les télégrammes du soir avec toute la planète.
Des spécialistes de sécurité donnent des recettes alternatives à base d’acide ou de laser pour déchiffrer un iPhone. Mais les procédés comportent le risque de tout perdre.
Dans le concert de soutien à Apple, John McAfee a décidé de jouer sa propre partition et de proposer son aide au FBI pour déchiffrer l’iPhone d’un des tueurs de San Bernardino.
La justice américaine enjoint Apple d’aider le FBI à accéder aux données chiffrées de l’iPhone d’un des auteurs de la tuerie de San Bernardino. Cupertino, prié d’apporter son concours à une attaque par force brute, affirme son intentio ...
Un pirate a publié une liste de 20 000 agents du FBI et 10 000 agents de la sécurité intérieure. Un avant-goût, car il disposerait d’une base de 200 Go de données.
La NSA prend le contre-pied du FBI en s’exprimant une nouvelle fois en faveur du chiffrement de bout en bout des transferts de données.
Moins interminables que les débats à l’Assemblée Nationale sur la loi sur le numérique, voici les télégrammes du soir de la rédaction de Silicon.fr.
Pas de logiciels truqués dans les voitures Renault, certes, mais jamais de fausses informations dans les télégrammes du soir.
Alors que nous avons basculé définitivement dans l’hiver sans en voir les frimas, il est temps de lire en toute quiétude les télégrammes du soir.
La pression pour l’affaiblissement du chiffrement va grandissante. Le Royaume-Uni prépare une loi. Les candidats à la Maison Blanche multiplient les déclarations. En porte-drapeau de la Silicon Valley, Apple tente de résister.