Les Xeon Scalable, avec leur Fabric Omni-Path intégrée (sur certains modèles), sont un atout pour les supercalculateurs. Cray et Atos vont les adopter dans leurs offres respectives.
![Cray Nvidia Titan supercalculateur 20 pétaflops © Oak Ridge National Laboratory](https://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2012/10/Cray-Nvidia-Titan-supercalculateur-20-pétaflops-©-Oak-Ridge-National-Laboratory-120x90.jpg)
Les Xeon Scalable, avec leur Fabric Omni-Path intégrée (sur certains modèles), sont un atout pour les supercalculateurs. Cray et Atos vont les adopter dans leurs offres respectives.
Dominés par deux supercalculateurs chinois et un système suisse vitaminé aux GPU, les États-Unis conservent toutefois 169 machines au sein du Top 500 mondial. Contre 17 pour la France.
Le ministère américain de l’Energie a débloqué une enveloppe de 258 millions de dollars pour 6 entreprises afin de développer le premier supercalculateur exascale.
Après avoir souhaité un bon rétablissement à NKM, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Avec une machine de 130 pétaflops, le Japon espère reprendre la tête du top500 des ordinateurs les plus rapides du marché. Mais la concurrence sera rude.
SGI passe dans l’escarcelle de HPE pour un montant de 275 millions de dollars. HPE pourra ainsi aborder plus directement les marchés du HPC et de l’analytique lourde.
La Chine annonce qu’elle franchira, avec son supercalculateur Tianhe-3, la barre de l’exaflops dès 2020. Bien avant les Etats-Unis. Mais l’annonce est à relativiser.
Les Etats-Unis peuvent-ils perdre leur leadership dans le calcul hautes performances (HPC) ? Un rapport s’inquiète de la montée en puissance de la Chine. L’Europe apparaît décrochée face aux deux superpuissances.
Les Etats-Unis se lancent officiellement dans la course au supercalculateur exaflopique. Et vont y consacrer 3 milliards de dollars. La Chine s’annonce comme leur rival le plus sérieux.
L'architecture N3XT à base de transistors en nanotubes de carbone ferait sauter les limites de calcul des composants en silicium actuels.
Les processeurs HPC Denver + GPU attendus chez Nvidia ne sont toujours pas là. Et pendant ce temps, c’est Intel qui innove, avec des Xeon Phi autonomes.
Réinternalisé sur les datacenters des entreprises, le PaaS Bluemix gagne en attractivité pour les professionnels devant jongler avec des processus critiques.
Français et Américains vont travailler main dans la main au développement de logiciels scientifiques capables d’exploiter la puissance des supercalculateurs exaflopiques.
Le plus puissant supercalculateur français est opéré par Total. Et le sera encore demain, le pétrolier s’apprêtant à en doper les capacités. Objectif : atteindre les 6,7 pétaflops/s en début d’année prochaine. Un niveau qui correspond ...
Avec le cluster Occigen, signé Bull, la France disposera de plus de 5 pétaflops de puissance de calcul dans ses centres académiques. Une belle montée, mais insuffisante pour se mettre au niveau de l’Allemagne ou du Royaume-uni.
Multiplier par 20 la puissance de calcul actuelle du premier superordinateur classé au Top 500, tel est l’objectif de plusieurs pays ou continents. A ce petit jeu, l’Europe parie sur la frugalité énergétique de l’architecture ARM.
Olivier Rouchon, responsable de l'archivage au CINES, explique ici l'enjeu de sa mission, liée au Big data. Partager pour mieux économiser. Un témoignage 'IT Life'.
La Commission européenne invite les États membres de l'Union européenne et les industriels à doubler leurs investissements dans le domaine du calcul haute performance (CHP/HPC) et des supercalculateurs d'ici à 2020.
Le groupe Bull récolte les fruits de son positionnement. Et recrute. Les contrats supercalculateurs s’additionnent, ceci grâce aux atouts dans l'infogérance et les services IT
Après le Tera 100 du CEA, c’est au tour du Curie du GENCI de passer la barrière du pétaflops de puissance de calcul. Un atout de poids pour le monde académique français.
Bull va fournir un troisième supercalculateur pétaflopique. Il sera dédié à l’étude des plasmas et des matériaux dans le cadre de la fusion contrôlée.