L’éditeur Visual Studio Code débarque sur les machines Chrome OS et les cartes mères ARM. En 32 bits et 64 bits.
![Visual Studio Code](https://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2015/04/Visual-Studio-Code-120x90.jpg)
L’éditeur Visual Studio Code débarque sur les machines Chrome OS et les cartes mères ARM. En 32 bits et 64 bits.
Le noyau Linux 4.8 apporte le support du SoC Broadcom BCM2837 intégré au Raspberry Pi 3. En mode 64 bits, comme il se doit. Une excellente nouvelle pour les utilisateurs de Raspbian.
Cap sur les processeurs ARM, x86 et MIPS, mais aussi sur les GPU AMD et Nvidia avec la dernière version du noyau Linux, estampillée 4.7.
Le NanoPi est probablement le plus récent des concurrents du Raspberry Pi. FriendlyARM mise sur les prix et la compacité.
Hardkernel est à la manœuvre autour des cartes Odroid. Des offres disposant d’un excellent niveau de support et d’une communauté très active.
À peine sorti, le Raspberry Pi 3 a droit à cinq dérivés d’Ubuntu spécialement optimisés pour lui. Le tout sous la bannière du projet Ubuntu Pi Flavour Maker.
Plus puissant, mieux fourni en RAM et compatible avec le stockage eMMC, l’Odroid-C2 est la première vraie réponse au Raspberry Pi 3.
Le Cortex-A32 est un cœur de processeur ARM 32 bits utilisant l’architecture ARMv8-A. Ses usages iront de l’électronique embarquée aux terminaux mobiles avancés.
La carte mère ARM H3-OlinuXino-NANO sera aussi accessible avec 1 Go de RAM et pourra ainsi aborder plus sereinement le monde desktop.
Les ARM 64 bits sont maintenant bien supportés par FreeBSD, en particulier les puces serveur, dont l’Opteron A1100 d’AMD.
Une solution permettant de faire fonctionner Linux en mode desktop tenant dans le creux de la main. Voilà ce que veut proposer Olimex avec son H3-OlinuXino-NANO.
L’Odroid-C2 est un picoordinateur pourvu d’une puce ARM 64 bits 4 cœurs, de 2 Go de RAM et d’un GPU performant. Une offre qui sera vendue 40 dollars.
Les choses vont de mal en pis pour le concepteur de puces ARM Marvell, qui se voit contraint de réduire sa voilure, en particulier sur la mobilité.
Deux fois plus de puissance et deux fois moins de besoins en énergie que les Cortex-A57. Voilà ce que promet Qualcomm avec ses CPU Kryo.
À 37 dollars, l’Odroid C1+ a tout pour concurrencer efficacement le Raspberry Pi 2. Il est plus performant, mais tout aussi abordable.
L’Odroid-XU4 est la nouvelle offre ARM de hautes performances d’Hardkernel, avec support d’Android et Ubuntu. Elle est accessible pour 79 $.
L’Odroid-C1 est un nouveau clone du Raspberry Pi, proposé au même prix, mais environ 6 fois plus rapide. Une offre intéressante.
La Fondation Mozilla a lancé des travaux pour porter Firefox OS sur les Raspberry Pi. L’idée est d’apporter une alternative à Raspbian.
Depuis ses débuts en 2012, le Raspberry Pi s’est écoulé à 3,5 millions d’exemplaires. Un phénomène qui devrait s’amplifier suite à la sortie de nouveaux modèles : le Compute Module et le Model B+.
Plus compact que le Raspberry Pi, l’Odroid-W est conçu pour le wearable computing et l’Internet des Objets. Équipé d’un SoC Broadcom BCM2835, il est 100 % compatible avec le Pi.
L'Américain Boundary Devices joue l'alternative à l'Odroid-X et au Raspberry Pi. À son catalogue, le Nitrogen6x et le Sabre Lite, des plates-formes de développement Linux basées sur des processeurs ARM quadricœurs : les i.MX6 de Freesc ...
Pour 129 dollars, le Coréen HardKernel propose l'Odroid-X, une plate-forme de développement Android qui embarque le processeur ARM le plus puissant du marché : le Samsung Exynos 4412.