Il est en marche (vers où, nul ne le sait ?), et nos télégrammes du soir courent, eux, jour après jour après l’actu la plus fraîche.
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Il est en marche (vers où, nul ne le sait ?), et nos télégrammes du soir courent, eux, jour après jour après l’actu la plus fraîche.
Si les États-Unis et l'Iran n'étaient pas parvenus à un accord sur le programme nucléaire iranien, Washington était prêt à lancer une attaque informatique d'ampleur contre Téhéran.
Des chercheurs ont mis au jour 25 faux profils utilisés sur LinkedIn par des hackers présumés iraniens. Le même groupe serait à l'origine de l'opération Cleaver dévoilée l'an dernier.
Les Iraniens sont soupçonnés d’avoir mené une vaste campagne d’espionnage, l’opération Cleaver, ciblant des organisations sensibles dans 16 pays. Une entreprise de l’énergie en a été victime en France.
Stuxnet, virus informatique conçu aux États-Unis, aurait ciblé ces derniers mois le système de gestion d'une centrale électrique et celui d'autres sites stratégiques iraniens.
Parallèlement au blocage de Google, les autorités de l’Iran ont connecté à un réseau intranet national l'ensemble des administrations du pays et, d'ici mars 2013, tous les habitants.
Le Président démocrate des États-Unis, Barack Obama, aurait discrètement ordonné durant les premiers mois de son mandat des attaques complexes contre les systèmes informatiques qui gèrent les principales installations nucléaires iranie ...
L'Iran accuse son fournisseur Siemens d'avoir fourni des informations sur ses systèmes industriels pour aider les Etats-Unis et Israël à élaborer le ver à vocation cyberterroriste Stuxtnet.