Windows Defender tenterait de s’imposer en force sur les PC. Quitte à désinstaller des produits concurrents, explique Eugene Kaspersky.
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Windows Defender tenterait de s’imposer en force sur les PC. Quitte à désinstaller des produits concurrents, explique Eugene Kaspersky.
Le projet No More Ransom propose des outils de déchiffrement pour les victimes de ransomware. Outils qui auraient déjà permis de priver les cybercriminels de plus d'un million d'euros de recette.
Écrase par la chaleur ? Tournez-vous vers nos télégrammes du soir pour vous rafraîchir (l’esprit).
Kaspersky détaille le fonctionnement d’une plateforme avancée de cyberespionnage, baptisée Projet Sauron. Un outil remarquablement sophistiqué et probablement aux mains d’un Etat.
En attendant que votre ordinateur se prépare à la mise à jour de Windows 10, il est temps de lire les télégrammes du soir.
Autorités policière européennes et éditeurs de sécurité allient leurs forces pour contrer les ransomwares à travers un portail.
Des chercheurs israéliens ont découvert une vulnérabilité dans plusieurs antivirus. D’autres failles seront présentées à la Black Hat.
Aéroports, hôtels, cafés... Le WiFi public est très utilisé, mais pas sans risque. 30 % des managers ont fait les frais d'un acte cybercriminel lors d'un voyage à l'étranger, selon Kaspersky Lab.
Sur le forum cybercriminel xDedic, les serveurs compromis se vendent à partir de 6 dollars pièce. Et sont proposés avec une suite de services permettant d’industrialiser le hacking.
Contrairement aux raffineries, nul besoin d'envoyer les CRS pour débloquer la publication des télégrammes du soir.
Moins loin que le contrat du siècle de DCNS avec l’Australie, voici les télégrammes du soir.
A l'heure où 160 pays signent à New York l'accord de la COP21 sur le Climat, les télégrammes du soir vous souhaitent un bon week-end.
Kaspersky fait son entrée sur le marché de la sécurisation des systèmes industriels. Un champ nouveau où, selon le Pdg de l'éditeur d'outils de sécurité, la prise de conscience a eu lieu, mais où le chantier est immense.
Avec près de 2 400 attaques recensées par Kaspersky, la France est l’une des principales cibles du ransomware Locky. Juste derrière l’Allemagne.
79 % des internautes n'apprécient pas d'être pistés par des sites web. Parmi les réfractaires, 41 % ne font rien contre, selon une enquête internationale promue par Kaspersky Lab.
Locky, un ransomware qui a récemment bloqué un hôpital à Los Angeles, cible en ce moment la France. Attention aux pièces jointes ressemblant à des factures et faisant appel à des macros !
En février 2015, des hackers qui avaient infecté une banque régionale russe sont parvenus à passer des ordres massifs sur les marchés. Déstabilisant la parité entre le rouble et le dollar.
Selon Kaspersky, la volonté de nuire à un concurrent serait à l'origine de plus d'une attaque DDoS sur dix dans le monde.
Plusieurs antivirus dont AVG, Kaspersky et McAfee comprenaient une faille dans l’utilisation d’une zone mémoire. Cette brèche est normalement comblée.
Pendant que Darty et Fnac publient les bancs de leur mariage, les télégrammes du soir restent fidèles à leur timing.
Selon Kaspersky, le nombre de nouveaux malwares mobiles a progressé de près de 11% entre le 2e et le 3e trimestre. Principalement des adwares.
Les attaques par déni de service distribué (DDoS) sont de plus en plus utilisées pour détourner l'attention de la DSI, alors qu'une intrusion cybercriminelle est en cours, selon Kaspersky Lab.
Le groupe de cybercriminels Turla masque les ordres vers ses serveurs de commandes et contrôle via les liaisons satellitaires.
Des chercheurs en sécurité ont découvert des failles critiques dans les produits de deux éditeurs importants : Kaspersky et FireEye. Ces vulnérabilités peuvent exploiter des fichiers à distance et subtiliser des identifiants.
Reuters dévoile des mails d’Eugene Kaspersky, le fondateur de l’éditeur du même nom, tendant à montrer que la société russe a mené des campagnes de déstabilisation de certains concurrents comme AVG. L’éditeur dément avoir créé de faux ...
Selon Kaspersky, réparer les dégâts après un incident de sécurité sur une architecture virtualisée coûte deux fois plus que sur une infrastructure physique.
Eugène Kaspersky réfute les accusations de Reuters, selon qui sa société a créé de faux virus pour intoxiquer ses concurrents. Mais reconnaît la réalité d’une attaque pernicieuse ciblant l’industrie de l’antivirus.
Deux ex-employés de l'éditeur accusent Kaspersky d'avoir inondé ses concurrents de fichiers spécialement conçus pour tromper leur algorithme de détection de malwares. Et créer de faux positifs chez les utilisateurs.
Comme tend à le montrer le malware Duqu 2.0, les États n’hésitent plus à s’en prendre aux éditeurs de logiciels de sécurité, comme Kaspersky. Une évolution qui tient tant à la place particulière de ces acteurs et qu'à l’instrumentalisa ...
Le quatrième éditeur mondial de logiciels de sécurité, le Japonais Trend Micro, a installé le cœur de ses laboratoires à Manille, aux Philippines. C'est là que les nouvelles menaces sont identifiées et étudiées. Reportage.