Les agences de renseignement américaine (NSA) et britannique (GCHQ) seraient parvenues à décoder les systèmes de chiffrement censés sécuriser les communications électroniques.
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Les agences de renseignement américaine (NSA) et britannique (GCHQ) seraient parvenues à décoder les systèmes de chiffrement censés sécuriser les communications électroniques.
Le ministère des Affaires étrangères et les représentations françaises à Washington et New York auraient été espionnés par l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
213 cyberopérations offensives ont été réalisées par les services de renseignement américains en 2011. Au menu, la diffusion de malwares sophistiqués et la mise en place d’un botnet.
Une enquête sur le programme de surveillance américain PRISM a été ouverte en France suite à la plainte déposée par deux organisations des droits de l'homme, la FIDH et la LDH.
PRISM, cinq lettres qui mettent l’administration américaine dans l’embarras et ses services de renseignement sur la sellette. Focus sur l’affaire de la décennie.
L'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) aurait eu accès, dès l'été 2012, aux communications effectuées via le système de vidéoconférence des Nations Unies.
À l'origine de PRISM et d'autres programmes aux noms de code variés, l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) pourrait surveiller pratiquement tout ce qui se passe en ligne.
Le groupe des CNIL européennes veut évaluer l'impact du programme de surveillance américain PRISM et obtenir de Bruxelles des clarifications.
La Chine s'interroge. Les technologies des trois géants américains, très présents sur son territoire, ne sont-elles pas des relais de la NSA et de son programme PRISM ?
L'administration Obama choisit l'un des siens, le directeur du renseignement James Clapper, pour évaluer les programmes américains de surveillance.
Barack Obama a dévoilé quatre mesures, dont la réforme du Patriot Act, pour améliorer la transparence et mieux encadrer les programmes américains de surveillance.
Lavabit n'est plus. Le service de messagerie chiffrée qui aurait été utilisé par Edward Snowden, consultant de la NSA à l'origine des révélations sur PRISM, a été fermé à la hâte.
XKeystore se présente comme un outil d'espionnage des internautes presque aussi simple à utiliser qu'un banal moteur de recherche.
Dix-neuf organisations pilotées par l'EFF contestent la constitutionnalité du programme de surveillance de la NSA (National Security Agency). Une plainte a été déposée aux États-Unis.
Microsoft déclare avoir reçu des autorités américaines entre 6000 et 7000 demandes au premier semestre 2012. Et ce au titre de la sécurité nationale.
Les dernières informations révélées par le Washington Post nous permettent d'en savoir un peu plus sur les renseignements que les espions numériques américains ont collectés, soit quasi tout ce qui nous concerne sur la toile !
Un PRISM à la française ? La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) serait, comme la NSA américaine, une adepte de la surveillance à grande échelle.
Discréditée par le programme PRISM, l'Agence de sécurité nationale américaine obtiendrait de précieuses informations sur les failles de sécurité des logiciels d'entreprises high-tech, avant publication de correctifs. Pour protéger ses ...
Paris opte pour la voie diplomatique suite aux allégations d'espionnage de l'Union européenne par l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
Les administrateurs systèmes sont dans la ligne de mire de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) discréditée par le programme PRISM de surveillance de données.
Après les scandale NSA, PRISM, etc., les organisations européennes vont-elles se détourner des clouds américains ? Mais est-ce mieux en nos contrées ?
Mozilla lance la campagne « Stop Watching Us ». Son but : obtenir du Congrès américain des éclaircissements sur le programme de surveillance des données personnelles de la NSA.
De Google à Facebook, les entreprises de la Silicon Valley réagissent au programme de surveillance de données personnelles de l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA).
À l'occasion de la Defcon 2012, convention de hackers, le général Keith Alexander, directeur de l'agence de sécurité nationale américaine (NSA), s'est prononcé pour un plus grand contrôle d'Internet au titre de la sûreté nationale.
Android se fait une place de plus en plus grande dans les forces armées, américaines, ou d’autres pays. La possibilité d’apporter des modifications au code source de l’OS est ici vue comme un avantage.
L'Agence de sécurité nationale américaine entend tester auprès de ses agents le terminal Android ultra sécurisé qu'elle a mis au point en interne. Avant une diffusion plus large au sein des équipes gouvernementales ?
Une version renforcée d’Android développée par la NSA est dorénavant accessible. Un produit intéressant, en particulier pour les instances gouvernementales.
Avec Accumulo, une nouvelle base de données open source adaptée au monde du big data fait son apparition. Ce projet créé par la NSA est dorénavant développé sous l’égide de la fondation Apache.