Le K Computer japonais, une machine pourvue de processeurs SPARC64, devient l’ordinateur le plus rapide au monde, avec une puissance de calcul maximale de 8,16 pétaflops.
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Le K Computer japonais, une machine pourvue de processeurs SPARC64, devient l’ordinateur le plus rapide au monde, avec une puissance de calcul maximale de 8,16 pétaflops.
Le Lomonosov nouveau est arrivé. Ce supercalculateur hybride est crédité d’une puissance de calcul culminant à 1,3 pétaflops.
Bull lance le projet et le club NumInnov, afin de réfléchir à une plate-forme cloud permettant de nouvelles utilisations du calcul.
Les GPU NVIDIA du supercalculateur chinois Tianhe-1A viennent de passer avec brio l’épreuve du feu, en déployant une puissance colossale de 1,87 pétaflops.
Cray allie des processeurs AMD Opteron et des GPU NVIDIA au sein de son nouveau XK6, une machine dont la puissance de calcul pourra dépasser les 50 pétaflops.
Bull va fournir un troisième supercalculateur pétaflopique. Il sera dédié à l’étude des plasmas et des matériaux dans le cadre de la fusion contrôlée.
Comment la technologie moderne aide-t-elle le Japon à encaisser au mieux la crise qu’il rencontre actuellement ? Réponses.
Un accord-cadre signé entre Bull et l’Inria permettra à ces deux acteurs de travailler en commun sur la problématique des supercalculateurs exaflopiques. Une thématique essentielle pour la science comme pour l’industrie informatique.
Le SuperMUC sera un cluster allemand crédité d’une puissance de 3 pétaflops. Un contrat décroché par IBM, qui utilisera un système de refroidissement liquide novateur.
Le département américain de la défense vient de brancher la prise de son nouveau supercalculateur. Il tire l’essentiel de ses 500 téraflops de puissance de 1760 consoles de jeux PS3 mises en réseau.
La Russie compte bien elle aussi aligner un supercalculateur pétaflopique dans le top500 des ordinateurs les plus rapides de la planète. Cette machine sera signée par T-Platforms, spécialiste russe du HPC.
Nouveau contrat de taille pour Bull dans le secteur des supercalculateurs : la compagnie va ainsi fournir deux clusters dédiés à la simulation numérique à Dassault Aviation.
Les architectures hybrides, utilisant des processeurs Cell d’IBM ou des GPU NVIDIA, permettent de créer les supercalculateurs les plus écologiques au monde.
CUDA 3.2 est livré avec des librairies mieux optimisées. Un bon point pour ceux qui produisent du code pour les GPU, en particulier les chercheurs œuvrant dans le secteur du HPC.
En empilant les processeurs, IBM espère pouvoir construire des composants de la taille d’un sucre avec la puissance d’un supercalculateur.
Bull se fait petit à petit un nom dans le monde des supercalculateurs. La compagnie vient ainsi d’être remarquée par les lecteurs d’HPCwire, à côté de géants de l’industrie comme IBM, HP et Cray.
CPU, GPU, Linux ou Windows, le nouveau supercalculateur de l’université de Reims Champagne-Ardenne saura répondre à tous les besoins. Un outil appréciable pour les universitaires comme les entreprises.
La bullx supercomputer suite est un ensemble d’outils particulièrement complet, conçu pour les clusters de toutes tailles. Une offre signée Bull.
C’est officiel : la Chine dispose du cluster le plus véloce du marché. Les États-Unis conservent toutefois la première place en terme de puissance de calcul totale.
Le Tera 100 affiche aujourd’hui une puissance de 1,05 pétaflops. Une annonce qui arrive à point, juste avant la sortie du classement top500 de novembre.
Le Tianhe-1A, un cluster chinois, est aujourd’hui le plus puissant ordinateur de la planète. Pour atteindre un tel niveau de performances, il mixe CPU et GPU.
Le futur supercalculateur conçu par Fujitsu embarquera un total de 80 000 processeurs SPARC64, pour une puissance brute de 10 pétaflops. Le futur roi du Top500 des ordinateurs les plus rapides de la planète ?
Le Tsubame 2.0 mise sur les GPU pour proposer un rapport puissance / surface occupée absolument sans égal. Ce supercalculateur effectuera principalement des simulations à une vitesse supérieure au temps réel.