Les poids lourds américains du numérique, dont Amazon, Facebook et Google, s'apprêtent à défendre devant l'USTR leurs arguments anti-taxe GAFA "Made in France".
![Numericable survie (crédit photo © Evangelos - shutterstock)](https://www.silicon.fr/wp-content/uploads/2012/10/Financement-euros-©-Evangelos-shutterstock-120x90.jpg)
Les poids lourds américains du numérique, dont Amazon, Facebook et Google, s'apprêtent à défendre devant l'USTR leurs arguments anti-taxe GAFA "Made in France".
La taxe GAFA voulue par la France est dans le collimateur de Donald Trump. Une enquête administrative est ouverte pour déterminer ses conséquences sur l'économie américaine.
L’Assemblée nationale et le Sénat ont validé le projet de loi qui impose une taxe sur le chiffre d'affaires réalisé en France par les GAFA et autres licornes du numérique.
Déjà votée par l'Assemblée nationale, la taxe GAFA défendue par le gouvernement pourrait rapporter 400 millions d’euros en 2019.
Dévoilé le 21 mars, le projet de texte de la Commission européenne générerait 5 milliards d’euros de rentrées fiscales par an.
Dernière ligne droite avant de basculer dans l'année 2017, il reste encore un peu de temps pour lire les derniers télégrammes de 2016.
En 2014, l'impôt sur les bénéfices versé en France par Google a baissé de 35 % à 5 millions d'euros. Une somme dérisoire par rapport à ce que le groupe aurait dû verser s'il avait déclaré ses revenus hexagonaux réels.
Un peu de répit sur le front de la chaleur, mais une actualité toujours aussi bouillonnante. Voici les télégrammes du soir.
Le gouvernement a saisi l'Arcep pour avis sur la faisabilité technique de mesure de la bande passante Internet en vue d'appliquer, ou non, une taxe sur l'activité des GAFA en Europe.
Londres s'apprête à taxer à 25 % les bénéfices détournés de multinationales, dont les Gafa. Reste à savoir comment le Royaume-Uni va calculer les profits 'réels' réalisés dans le pays et que vont devenir les accords fiscaux déjà signés ...
Faut-il taxer Google pour maintenir la presse à flot ? Pour tenter de répondre à cette question polémique, le chef de l'État français, François Hollande, a reçu lundi Eric Schmidt, président exécutif de la firme Internet américaine.
Ministre de la Culture et de la Communication, Aurélie Filippetti a réaffirmé lundi la nécessité de développer une fiscalité équitable entre acteurs du numérique et de la culture.
L'Association des services communautaires (ASIC) s'interroge sur le bien-fondé des propositions en faveur de la taxe sur la publicité en ligne ou « taxe Google » présentées mercredi par Philippe Marini (UMP), président de la commission ...
Opérateurs, parlementaires et acteurs de l'économie numérique réfléchissent de nouveau à un système de ponction des grands noms du web pour soutenir le financement numérique en France.
Attendu pour le printemps prochain, le Conseil national du numérique présidé par Pierre Kiosciusko-Morizet s'attaquera à toutes les questions qui touchent l'économie numérique, des libertés en ligne à la récente taxe Google.
Le report de six mois de la taxe Google visant à ponctionner les annonceurs en ligne installés en France ne suffit pas à calmer les esprits.
Votée, la taxe Google risque de peser négativement sur l'activité des entreprises françaises du Net.