Julien Barbier est co-fondateur du réseau while42 et directeur marketing et communauté de Docker. Installé aux États-Unis, il vient d’annoncer la mise en ligne de TechMeAbroad.com. Son but : aider les membres du réseau international d’informaticiens français while42 et d’autres ingénieurs, développeurs, devops et administrateurs système dans le monde, « jeunes et moins jeunes », à trouver un travail à l’étranger. « La plateforme ne listera que des offres d’emploi et de stage pour lesquelles les startups et entreprises sont prêtes à sponsoriser un visa de travail », assure Julien Barbier.
L’absence de site dédié lorsque l’informaticien est sorti de l’école Epitech avec l’objectif de partir travailler dans la Silicon Valley, a motivé la création de TechMeAbroad. « Aucun site n’existait à l’époque pour aider un jeune diplômé à gagner de l’expérience aux Etats-Unis. Il m’a fallu 6 ans et beaucoup de chance pour accomplir mon rêve », explique Julien Barbier. TechMeAbroad a déjà un partenaire de renom, l’école 42, qui proposera les offres directement sur son intranet, via une intégration logicielle.
De nombreuses jeunes pousses high-tech recrutent à l’international les talents dont elles ont besoin pour accompagner leur croissance. Dans la Silicon Valley, les salaires des ingénieurs et développeurs sont nettement supérieurs à ceux que proposent les recruteurs en France. Par ailleurs, outre-Atlantique, une start-up rémunère souvent mieux qu’une société de services IT.
Lire aussi :
Etats-Unis : les salaires s’envolent dans l’IT en 2015
Le plan de recrutements IT d’Obama financé par les visas H1B passe mal
Une mise à jour de l'EDR Crowdstrike Falcon a planté une multitude de serveurs et…
Un modèle GPT-4o mini rejoint le catalogue d'OpenAI. De la conception à l'évaluation, il a…
La Cour des comptes appelle à formaliser et à professionnaliser certains aspects du RIE, tout…
La Cour des comptes attire l'attention sur le risque d'affaiblissement d'Etalab, privé, ces dernières années,…
Missions historiques de la Dinum, l'ouverture des données publiques et la promotion des logiciels libres…
Pour développer une version 7B de son modèle Codestral, Mistral AI n'a pas utilisé de…