Les fleurons de l’économie italienne vont mal. Après la quasi-faillite d’Alitalia (compagnie aérienne nationale), c’est au tour de Telecom Italia de multiplier les difficultés. En juin dernier, l’opérateur historique transalpin avait déjà annoncé un plan d’économies de 300 millions d’euros par an. Aujourd’hui, le volet social de ce plan a été dévoilé.
Le groupe va ainsi supprimer 5.000 postes, selon un accord passé avec les syndicats révélé par la chaîne d’informations Bloomberg. Les réductions d’effectifs se feront sur la base du volontariat, notamment à travers des départs en retraite anticipés. Les syndicats ont obtenu du groupe qu’il étoffe les effectifs de l’activité de téléphonie fixe, et qu’il convertisse des emplois temporaires en contrats fixes.
Reste que la potion pourrait s’avérer peu efficace. Telecom Italia subit une dette de 37 milliards d’euros et cherche de l’argent frais. Dans le même temps, le cours de son action s’est effondré à la bourse.
Différents scénarios ont été évoqués : la vente de l’infrastructure réseau ou l’entrée dans le capital d’un investisseur étranger (une option qui ne plaît guère au gouvernement Berlusconi).
En attendant, faute de fonds, Telecom Italia a annoncé qu’il renonçait pour le moment à déployer un réseau en fibre optique dans le pays.
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