Désormais un internaute pourra éventuellement gagner de l’argent en mettant en ligne la vidéo de sa marmotte en train de faire les gros yeux ou rejouant de fameuses scènes de Star Wars.
YouTube étend le statut d’éditeur afin qu’un internaute puisse récupérer une partie des recettes publicitaires générées par le trafic. Par exemple, près de 27 millions d’internautes ont vu le petit David, 7 ans, assommé par les calmants de son dentiste. Un trafic qui a de quoi encourager les spécialistes du « buzz » viral.
Auparavant YouTube réservait aux seuls éditeurs professionnels de chaînes sur le site (médias, entreprises, institutions) ainsi qu’aux amateurs fédérant un grand nombre de visites de monétiser leur audience. Le site a décidé d’élargir son programme et espère ainsi récolter plus d’audience.
Dans les faits, YouTube proposera à l’auteur d’une vidéo de la monétiser grâce à de la publicité. Une partie des recettes ainsi générées par YouTube sera donc reversée à l’internaute. Ce programme n’est pour l’heure proposé qu’aux États-Unis, mais YouTube espère «déployer le programme à l’international très vite».
Cette mesure entre dans l’optique rentabiliser YouTube. Pour rappel, Google avait racheté YouTube en 2006 au prix d’1,65 milliard de dollars. Une bagatelle dépensée dans l’espoir que le site allait rapporter beaucoup. Peine perdue pour YouTube qui, selon certaines informations, rapporte peu. Google cherche donc un modèle économique viable à YouTube.
Quitte à aboutir à une partie payante du site. De là à intégrer un service Premium (pay-per-view) payant, il n’y a qu’un pas que voulait déjà franchir Eric Schmidt, le boss de Google, voilà quelques mois… Plus qu’une vidéo, un film à épisodes.
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