En 2009, les distributions Linux grand public tentaient déjà de passer sous les 10 secondes de temps de démarrage. Un cap psychologique important pour les utilisateurs.
L’Ubuntu 11.10 « Oneiric Ocelot » pourrait être la première offre à franchir cette barrière.
12 secondes soit trois de mieux que précédemment
ont mesuré une nette baisse du temps de démarrage de ce système d’exploitation.
Il passe de plus de 15 secondes à seulement 12 secondes. Une amélioration qui serait due à l’adoption du gestionnaire de connexion LightDM et au remplacement de certains outils lents et complexes par des alternatives mieux optimisées.
Si cette avancée mérite d’être saluée, il convient toutefois de rester prudent : le développement de l’Ubuntu 11.10 est en effet loin d’être achevé. Des régressions sont donc encore possibles dans ce secteur.
Des résultats encore insuffisants ?
Le temps de démarrage de l’OS a été mesuré sur une machine desktop performante.
Il sera probablement plus élevé sur un ordinateur portable de bas de gamme pourvu d’un disque dur (tel un netbook)… et plus court sur une machine pourvue d’un SSD.
En tout état de cause, l’Ubuntu devrait rester en retrait face à des offres plus légères (comme MeeGo ou la Zenwalk) ou spécifiquement conçues pour proposer un temps de boot minimal (comme les OS « Instant-On »). Réponse en octobre prochain.
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